Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 3/0350

Louis Conard (Volume 3p. 47-48).

350. À LA MÊME.
Dimanche, minuit, 7 novembre 1852.

Rien de changé à nos dispositions, chère Louise ; après-demain mardi je prends le convoi de 1 h 30.

Bouilhet nous viendra voir jeudi. Tu peux te dispenser de lui apporter le drame de Pelhion, que nous avons lu il y a quelques mois, lorsqu’il venait d’être refusé aux Français.

N’emplis pas ta malle (par un surcroît inutile de toilettes) ; je te donnerai beaucoup de choses à rapporter. N’apporte que ta personne (et ta Paysanne[1]).

Adieu, mille baisers. À bientôt les vrais. À toi, à toi.


  1. Voir Correspondance, II, p. 340 et Appendice.