Contes d’une mère à sa fille/La Flatterie

À la librairie d’Éducation de Pre Blanchard (p. --203).


La flatterie. Claire prononça ce petit discours. Une salle très haute de plafond, avec six jeunes femmes assises devant une table. Devant elles, une autre femme debout.
La flatterie. Claire prononça ce petit discours.
Une salle très haute de plafond, avec six jeunes femmes assises devant une table. Devant elles, une autre femme debout.


CONTE IV.

LA FLATTERIE.




Madame Bermance était restée veuve à vingt-quatre ans ; jeune, belle et riche, elle fut aimée, recherchée ; on lui proposa plusieurs partis avantageux ; sa tendresse pour sa petite Virginie, seul fruit de son hymen, ne lui permit pas de céder aux vœux de ses amans, et aux instances de sa famille. Elle avait résolu de vivre uniquement pour sa fille, et de se consacrer tout entière aux soins qu’exigeait son éducation ; elle ne voulait s’en fier qu’à elle-même pour former l’esprit et Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/162 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/163 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/164 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/165 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/166 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/167 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/168 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/169 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/170 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/171 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/172 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/173 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/174 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/175 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/176 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/177 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/178 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/179 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/180 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/181 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/182 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/183 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/184 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/185 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/186 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/187 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/188 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/189 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/190 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/191 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/192 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/193 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/194 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/195 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/196 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/197 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/198 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/199 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/200 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/201 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/202 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/203 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/204 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/205 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/206 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/207 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/208 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/209 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/210 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/211 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/212 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/213 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/214 sans cesse contre la fortune, qui, disait-elle, ne favorise jamais l’esprit et le mérite.

Claire et Virginie passèrent leur heureuse jeunesse dans les douceurs d’une véritable amitié. Madame Dermance les maria avantageusement, et consulta leur cœur autant que les convenances. Leur établissement ne les éloigna point l’une de l’autre, et elles goûtent encore, dans un âge avancé, les charmes du sentiment qui embellissait leurs jeunes années.