Contes d’une mère à sa fille/L’Amie invisible

À la librairie d’Éducation de Pre Blanchard (p. --291).


L’amie invisible. « Déjeuner que Valérie offrira à ses compagnes ». Dans une chambre, un lit dans le fond, une jeune femme penchée sur une table où se trouve plusieurs plats chargés de nourriture.
L’amie invisible. « Déjeuner que Valérie offrira à ses compagnes ». Dans une chambre, un lit dans le fond, une jeune femme penchée sur une table où se trouve plusieurs plats chargés de nourriture.


CONTE VI.

L’AMIE INVISIBLE.




Dans la capitale d’une de nos provinces occidentales, il existait, avant la révolution, un couvent d’Ursulines très renommé pour l’éducation de la jeunesse. La plupart des religieuses étaient des filles du plus grand mérite, et remplies de talens, qui non-seulement formaient leurs élèves à la vertu et aux bonnes mœurs, mais leur donnaient encore ces manières polies et cette urbanité qui font l’agrément de la société. Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/270 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/271 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/272 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/273 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/274 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/275 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/276 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/277 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/278 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/279 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/280 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/281 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/282 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/283 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/284 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/285 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/286 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/287 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/288 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/289 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/290 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/291 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/292 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/293 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/294 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/295 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/296 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/297 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/298 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/299 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/300 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/301 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/302 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/303 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/304 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/305 Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/306 elles la félicitèrent de la victoire qu’elle avait remportée sur elle-même, et des suites qu’elle avait eues, et lui promirent de l’admettre dans leur société, distinction très flatteuse pour une si jeune personne. Valérie, avec un guide aussi éclairé qu’il lui était cher, parvint à ajouter aux grâces et aux talens la modestie qui leur donne un nouveau prix.