Trois ans de captivité chez les Patagons
- Un enfant de Paris dans les pampas argentines. — Pourquoi j’étais venu là. — Déceptions. — Retour vers le nord. — Voyages et épreuves dans le désert. — La crue du torrent. — La fatigue, le froid, la faim, la soif. — Pensées de suicide. — L’étang. — Le puma ou couguar. — La boussole affolée et ses tristes conséquences. — Rencontre d’Indiens. — Combat. — Mort de mon compagnon. — Ma captivité. — Le nouveau Mazeppa. — Mon esclavage. — En quelles mains j’étais tombé. — Les Indiens des pampas et de la Patagonie. — Identité de leurs idiomes, de leurs croyances religieuses et de leur genre de vie. — Mœurs et coutumes. — Repas. — Prières. — Ivresse. — Exercices et costumes des deux sexes. — Aspect des pampas. — Mes occupations d’esclave. — La chasse. — Le jeu et l’ivrognerie chez les Indiens de la Patagonie
- Les femmes en Patagonie. — Recherche, fiançailles et mariage. — Divorce. — Naissance ; la vie de l’enfant discutée par le père et la mère. — Percement de l’oreille. — Funérailles. — Suite de ma captivité. — Vendu et revendu. — Idées de fuite. — Leçon sanglante de prudence et de dissimulation. — Nouvelles pensées de suicide. — Un maître humain par avarice. — Razzias. — Un morceau de papier roulé par le vent des pampas me vaut l’office de secrétaire du chef de la tribu. — Cette fonction n’est pas sans danger ; je ne tarde pas à l’apprendre par ma condamnation à mort. — Je m’enfuis chez le grand chef de la confédération mamouel-tche. — Je trouve auprès de lui appui et justification. — Comment la politique extérieure des Provinces-Unies de la Plata vint à influer sur ma destinée. — Le général Urquiza. — Quelques mots sur cet homme d’État, intéressé autant que moi à flatter le penchant de mes maîtres à l’ivrognerie. — Présents qu’il leur envoie. — Orgie générale. — Ma fuite et ma délivrance. — Rio Quinto. — Mendoza. — Les Andes. — Retour en France