Traité élémentaire de la peinture/314
Traduction par Roland Fréart de Chambray.
Texte établi par Jean-François Deterville, Deterville, Libraire, 1803 (nouv. éd. revue, corrigée et augmentée de la Vie de l’Auteur) (p. 258).
Texte établi par Jean-François Deterville, Deterville, Libraire, 1803 (nouv. éd. revue, corrigée et augmentée de la Vie de l’Auteur) (p. 258).
CHAPITRE CCCXIV.
De quelle sorte paroît une ville dans un air épais.
L’œil qui voit de haut en bas une ville dans un air épais, remarquera plus distinctement les sommets des bâtimens qui paroissent plus obscurs et plus terminés que les étages d’en bas, lesquels se trouvent dans un champ blanchâtre et moins épuré, parce qu’ils sont vus dans un air bas et grossier ; ce qui arrive par les raisons que j’ai apportées dans le Chapitre précédent.