Calmann-Lévy, éditeurs (p. 345-368).


VIII

AIX-LES-BAINS


Aix-les-Bains, Palace Hôtel.

C’est toujours avec regret, que j’abandonne « la branche » confortable que j’occupe à Paris. L’hôtel de Castiglione n’a pas la banalité, la froideur, qui caractérisent généralement « la maison du voyageur ». Ceci est dù à son atmosphère franco-italienne. Le propriétaire est Italien, sa femme est Française. Inconsciemment, il apporte dans son métier les qualités de sa race. Il n’est pas seulement l’hôtelier, il est l’hôte. Toute question d’intérêt à part, il désire qu’on se trouve bien sous son toit, qu’on jouisse de la table et du logement. Dès l’entrée de l’hôtel, chez le concierge, chez les grooms bien stylés, au bureau, chez le directeur, on sent la volonté d’être agréable. Au restaurant, les garçons, italiens pour la plupart, ont dans leur service la courtoisie innée, la douceur qui Page:Laperche - Sur la branche.djvu/364 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/365 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/366 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/367 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/368 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/369 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/370 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/371 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/372 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/373 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/374 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/375 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/376 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/377 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/378 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/379 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/380 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/381 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/382 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/383 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/384 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/385 Page:Laperche - Sur la branche.djvu/386