Wikisource

« Page:Marquiset,À travers ma vie,1904.djvu/226 » : différence entre les versions

Navigation interactive dans l’historique
← Modification précédente
mAucun résumé des modifications
→‎Corrigée : Défi 5000
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
En-tête (noinclude) :En-tête (noinclude) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{bloc centré/o}}
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
À troubler nos cœurs et nos sens
<poem>À troubler nos cœurs et nos sens
Mettez un peu moins de malice ;
Mettez un peu moins de malice ;
Aux lieux qu’ont habités des saints
Aux lieux qu’ont habités des saints
Tempérez l’éclat de vos charmes,
Tempérez l’éclat de vos charmes,
Épargnez de pauvres humains
Épargnez de pauvres humains
Qui ne sont pas des Carmes.
:Qui ne sont pas des Carmes.


Et vous, qui d’un hymen bien doux
Et vous, qui d’un hymen bien doux
Naguère avez serré les chaînes,
Naguère avez serré les chaînes,
Songez que pour tous les époux
Songez que pour tous les époux
Au plaisir se mêlent des peines.
Au plaisir se mêlent des peines.
Lorsque des moments de tiédeur
Lorsque des moments de tiédeur
Vous causeront quelques alarmes,
Vous causeront quelques alarmes,
Allez prier avec ferveur
Allez prier avec ferveur
Sur les tombeaux des Carmes.
:Sur les tombeaux des Carmes.


Du bonheur, si vous m’en croyez,
Du bonheur, si vous m’en croyez,
Vous saurez étendre l’empire ;
Vous saurez étendre l’empire ;
Croissez, créez, multipliez,
Croissez, créez, multipliez,
Un carme ne saurait mieux dire.
Un carme ne saurait mieux dire.
Que vos enfants, de toutes parts,
Que vos enfants, de toutes parts,
Peuplent la finance et les armes,
Peuplent la finance et les armes,
La cour, la robe et les beaux-arts,
La cour, la robe et les beaux-arts,
Et, s’il le faut....,les Carmes.
:Et, s’il le faut…, les Carmes. </poem>{{bloc centré/f}}



⚫
J’étais alors complètement étranger aux affaires politiques et je vivais la plupart du temps à Besançon,

⚫
J’étais alors complètement étranger aux affaires politiques et je vivais la plupart du temps à Besançon,
mais chaque année je faisais un assez long séjour dans la capitale.
mais chaque année je faisais un assez long séjour dans la capitale.


Récupérée de « https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Marquiset,À_travers_ma_vie,1904.djvu/226 »