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privilèges injustes qui leur o :it permis d’écraser nos institutions sécuri ni f|j.
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ment secondai ;1 !1,
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libres. C’est ce qui nous amène à examiner la question dd
libres. C’est ce qui nous amène à examiner la question de
reuseiimijniont laïc eL delà lettre d’obédience. Kt d’abord
l’enseignement laïc et de la lettre d’obédience. Et d’abord
parce que le couvent, fort déjà de l’isolement, de l’abandon et de l’oppression de la femme pauvre, a tout accaparé
l’àbanparce que le couvent, i’o"t déjà de
en vertu de privilèges injustes et immoraux, faut-il lui enlever
dou et
ses droits légitimes ; parce qu’il opprime l’enseignement séculier, l’enseignement séculier doit-il l’opprimer
la femme pauvre, a lout accaparé
à son tour ; en un mot, l’instruction doit-elle et peut-elle
lui enen vertu de privilèges injusîos et
être ''à priori'' exclusivement laïque ? Notre esprit centralisateur et autoritaire, qui fait dire volontiers à tout individu ; l''Étal c’est moi'', nous disposerait à agir ainsi, mais la
Je^’ei’ ses droits légitimes parce qu’il opprime l’enseignera Hit séculier, l’enseignement séculier do’t-il l’opprimer
considération des droits individuels et de l’égalité civile
à son lotir ; ou un mot, l’instruction doit-elle et peut-elle
Ot"e à, priori exclusivement laï juo ? Notre esprit c entrai
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considération des ciîo.ts iuilividneU et de l’égal i té civile
nous montre la question plus complexe ; elle nous la fait
nous montre la question plus complexe ; elle nous la fait
voir surtout loin de la hauteur d’un ''principe'', c’est-à-dire
voir surtout loin de la hauteur d’un ''principe'', c’est-à-dire