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juste titre un esprit si |
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compliqué et un caractère si difficile à définir. Il fit le reste de la |
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route sans en avoir conscience, car ils suivaient alors un chemin facile |
route sans en avoir conscience, car ils suivaient alors un chemin facile |
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gagna, et il ne se sentit plus ni très-courroucé ni très-effrayé des |
gagna, et il ne se sentit plus ni très-courroucé ni très-effrayé des |
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prétentions de son compagnon de voyage, en résumant celles qu’il |
prétentions de son compagnon de voyage, en résumant celles qu’il |
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caressait lui-même. |
caressait lui-même.<section end="xxv" /><section begin="xxvi" /> |
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{{c|{{Espacé|AGATHE.}}}} |
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AGATHE. |
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Michel ouvrit lui-même la petite porte à laquelle aboutissait le sentier |
Michel ouvrit lui-même la petite porte à laquelle aboutissait le sentier |
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Le Piccinino savait fort bien qu’il ne courait aucun risque d’être trahi |
Le Piccinino savait fort bien qu’il ne courait aucun risque d’être trahi |
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par M. |
par {{M.|de}} la Serra ; même il lui plut de voir ce noble seigneur lui |
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donner des gages de l’alliance qu’on faisait avec lui, et dans laquelle, |
donner des gages de l’alliance qu’on faisait avec lui, et dans laquelle, |
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nécessairement, le marquis allait se trouver engagé. |
nécessairement, le marquis allait se trouver engagé. |
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« M. |
« {{M.|de}} la Serra est donc aussi mon ami et mon complice ? dit-il à Agathe |
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d’un ton de reproche. |
d’un ton de reproche. |
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― Je connais assez bien l’histoire de mon père, répondit le jeune |
― Je connais assez bien l’histoire de mon père, répondit le jeune |
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bandit, et il me suffit de savoir que M. |
bandit, et il me suffit de savoir que {{M.|de}} la Serra reporte sur moi la |
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bienveillance qu’il lui accordait. » |
bienveillance qu’il lui accordait. » |
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Mais, lorsque la princesse eut fini, il renouvela avec aplomb sa |
Mais, lorsque la princesse eut fini, il renouvela avec aplomb sa |
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question ''sine qua non'', du testament, |
question ''sine qua non'', du testament, et {{tiret|dé|clara}} |