« Page:Erckmann-Chatrian - Contes et romans populaires, 1867.djvu/321 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Le premier moment d’indignation passé, l’oncle Zacharias redevint lui-même. « Tobie, s’écria-t-il, le diable a rendu ses comptes, je lui pardonne. Ti... » |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 79 : | Ligne 79 : | ||
Maître Zacharias fut appelé au château. On |
Maître Zacharias fut appelé au château. On |
||
lui commanda le Requiem de Yéri-Péter II, |
lui commanda le ''Requiem'' de Yéri-Péter II, |
||
œuvre qui lui valut enfin la place de maître |
œuvre qui lui valut enfin la place de maître |
||
de chapelle, qu’il ambitionnait depuis si longtemps. |
de chapelle, qu’il ambitionnait depuis si longtemps. |
||
Ligne 89 : | Ligne 89 : | ||
« Hé ! neveu, si l’on savait que c’est pour le |
« Hé ! neveu, si l’on savait que c’est pour le |
||
corbeau que j’ai composé mon fameux Requiem, |
corbeau que j’ai composé mon fameux ''Requiem'', |
||
nous pourrions encore aller jouer de la clarinette |
nous pourrions encore aller jouer de la clarinette |
||
aux fêtes de village. Ah ! ah ! ah ! » et le |
aux fêtes de village. Ah ! ah ! ah ! » et le |
||
gros ventre de mon oncle galopait d’aise. |
gros ventre de mon oncle galopait d’aise. |
||
Ainsi vont les choses de ce monde. |
Ainsi vont les choses de ce monde. |
||