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Par Dieu, nenni ! Veu mon malheur :
Par Dieu, nenni ! Veu mon malheur :
Car ainsi m’aist mon Créateur
Car ainsi m’aist mon Créateur
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<section end="s1" /><section begin="s2" />{{t4|{{sc|(Née à Toulouse vers 1450)}}|CLÉMENCE ISAURE}}
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Et tu fus, en ces temps, la source intarissable
Et tu fus, en ces temps, la source intarissable
Dont un siècle altéré but à longs traits les pleurs,
Dont un siècle altéré but à longs traits les pleurs,
Alors qu’autour de toi, sur la ronce et le sable.
Alors qu’autour de toi, sur la ronce et le sable,
L’herbe reverdissait en s’émaillant de fleurs ;
L’herbe reverdissait en s’émaillant de fleurs ;
Tu fus l’étoile d’or, parmi toutes choisie,
Tu fus l’étoile d’or, parmi toutes choisie,
Qui, sous les cieux obscurs se laissant entrevoir.
Qui, sous les cieux obscurs se laissant entrevoir,
Vins guider de ses feux l’errante Poésie
Vins guider de ses feux l’errante Poésie
{{tab}}Vers le berceau du Gai Savoir<ref>''Le Verger d’Isaure'', par M. Stéphen Liégeard.</ref>.
{{tab}}Vers le berceau du Gai Savoir<ref>''Le Verger d’Isaure'', par M. Stéphen Liégeard.</ref>.
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