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fausses prières que nous leur faisions de |
fausses prières que nous leur faisions de demeurer<ref>21. « Qu’ils ne cédassent à nos fausses prières de demeurer ! » (''Édition de'' 1737.)</ref> ! quelle douceur et quelle joie, quand nous en étions délivrés ! et comme nous trouvions qu’une mauvaise compagnie étoit bien meilleure qu’une bonne<ref>22. « Est préférable à une bonne. » (''Ibidem''.)</ref>, qui vous laisse affligée quand elle part, au lieu que l’autre vous rafraîchit le sang, et vous fait respirer de joie<ref>23. « Respirer d’aise ! » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.) — Voyez la lettre du 28 juin 1671, tome {{rom-maj|II|}}, p. 258 et suivante.</ref> ! Vous avez senti ce délicieux état. |
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Je vous gronderois de m’avoir écrit une si grande lettre de votre écriture, sans que j’ai compris que cela vous étoit encore |
Je vous gronderois de m’avoir écrit une si grande lettre de votre écriture, sans que j’ai compris que cela vous étoit encore meilleur<ref>24. « Encore moins mauvais. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.)</ref> que de soutenir la conversation. Celle de M.{{lié}}de Louvois<ref>25. Sur le voyage que Louvois fit à cette époque dans le Midi, voyez la ''Correspondance de Bussy'' tome {{rom-maj|V|}}, p. 118 et i37.</ref> avec M.{{lié}}de Vardes a fait du bruit : on me l’a mandée<ref>26. « On me la mande. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.)</ref> de Paris, et qu’il quitta les Grignans et les Montanègres pour cet exilé. On croit qu’il y a quelque ambassade en campagne, dont ses enfants<ref>27. Dans notre manuscrit, par une erreur du copiste, il y a ''les enfants'', et à la fin de la phrase : ''de la deffense''.</ref> sont fort effrayés par la crainte de la dépense. Je vois pourtant que M.{{lié}}de Grignan a été fort bien traité de ce ministre ; ce voyage ne pouvoit pas s’éviter : il a encore plus coûté à Montanègre<ref>28. M.{{lié}}de Montanègre commandoit en Languedoc, comme M.{{lié}}de Grignan en Provence. (''Note de Perrin'', 1754.)</ref>. Je trouve bien honnête et bien noble de n’avoir pas paru fâché de son dîner perdu ; je ne sais comme on peut donner de ces sortes de mortifications à des gens qui jettent de l’argent, et qui se mettent en pièces pour vous faire honneur<ref name=p430>29. Dans l’impression de 1737 : « pour nous faire honneur. » Le</ref>.<section end="815"/> |
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21. « Qu’ils ne cédassent à nos fausses prières de demeurer ! » (''Édition de'' 1737.) |
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22. « Est préférable à une bonne. » (''Ibidem''.) |
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23. « Respirer d’aise ! » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.) — Voyez la lettre du 28 juin 1671, tome {{rom-maj|II|}}, p. 258 et suivante. |
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24. « Encore moins mauvais. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.) |
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25. Sur le voyage que Louvois fit à cette époque dans le Midi, voyez la ''Correspondance de Bussy'' tome {{rom-maj|V|}}, p. 118 et i37. |
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26. « On me la mande. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.) |
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27. Dans notre manuscrit, par une erreur du copiste, il y a ''les enfants'', et à la fin de la phrase : ''de la deffense''. |
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28. M.{{lié}}de Montanègre commandoit en Languedoc, comme M.{{lié}}de Grignan en Provence. (''Note de Perrin'', 1754.) |
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29. Dans l’impression de 1737 : « pour nous faire honneur. » Le |