« Page:Pergaud - La Guerre des boutons, 1912.djvu/70 » : différence entre les versions

AkBot (discussion | contributions)
Pywikibot touch edit
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
classe, lui, le père, redoublerait la dose à la maison.
en classe, lui, le père, redoublerait la dose à la maison.


Comme on le voit, le père de Lebrac avait en pédagogie des idées bien arrêtées et des principes très nets, et il les appliquait, sinon avec succès, du moins avec conviction.
Comme on le voit, le père de Lebrac avait en pédagogie des idées bien arrêtées et des principes très nets, et il les appliquait, sinon avec succès, du moins avec conviction.
Ligne 11 : Ligne 11 :
C’était dans cette même disposition d’esprit qu’il se trouvait, quand son fils franchit le seuil de la chambre.
C’était dans cette même disposition d’esprit qu’il se trouvait, quand son fils franchit le seuil de la chambre.


Chacun était à sa place et avait déjà mangé sa soupe. Le père, sa casquette sur la tête, le couteau à la main, s’apprêtait à disposer sur un ados de choux les tranches de lard fumé coupées en morceaux plus ou
Chacun était à sa place et avait déjà mangé sa soupe. Le père, sa casquette sur la tête, le couteau à la main, s’apprêtait à disposer sur un ados de choux les tranches de lard fumé coupées en morceaux plus