« Page:Pierre de Coubertin - Anthologie, 1933.djvu/87 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
{{g|{{t|{{Souligner|'''La mission du Portugal'''.}}|110}}|0}} |
{{g|{{t|{{Souligner|'''La mission du Portugal'''.}}|110}}|0}} |
||
{{interligne}} |
{{interligne}} |
||
Le Portugal s’est développé en marge de l’Europe. Aussi l’occasion d’en parler ne s’offre-t-elle guère |
Le Portugal s’est développé en marge de l’Europe. Aussi l’occasion d’en parler ne s’offre-t-elle guère qu’indirectement. Son existence d’ailleurs déroute celui qui voudrait chercher sur la carte la raison d’être de son autonomie géographique. Le Douro et le Tage, en effet, sont des fleuves foncièrement espagnols qui descendent des plateaux castillans. Pourquoi leurs vallées se trouvent-elles coupées transversalement par une frontière {{tiret|lin|guistique}}<section end="s2"/> |