« Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1903.djvu/159 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « deux OU trois d’entre elles abdiqueraient bénévolement en faveur de la quatrième. Ce serait une duperie et le monde, d’ailleurs, y gagnerait-il beaucoup ? Il y a... » |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
deux |
deux ou trois d’entre elles abdiqueraient bénévolement |
||
en faveur de la quatrième. Ce serait une |
en faveur de la quatrième. Ce serait une |
||
duperie et le monde, d’ailleurs, y gagnerait-il |
duperie et le monde, d’ailleurs, y gagnerait-il |
||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
des barrières utiles ; nous pensons que la différence |
des barrières utiles ; nous pensons que la différence |
||
des langues entre les hommes en est une. |
des langues entre les hommes en est une. |
||
{{interligne}} |
|||
Le français ne recule pas. |
{{Souligner|{{g|''Le français ne recule pas''.|2}}}} |
||
Abandonnant le domaine de la spéculation, il |
Abandonnant le domaine de la spéculation, il |