« Page:Adrienne Durville, Carnet de guerre 1914-1918 n°5.pdf/67 » : différence entre les versions

mAucun résumé des modifications
Cpad38 (discussion | contributions)
mAucun résumé des modifications
 
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
pour dire adieux aux Ihler.
pour dire adieux aux Ihler.


Arrivée vers 2 heures ½ à Gérardmer ; le pays est splendide, ce lac au milieu des montagnes couvertes de sapins forme un paysage tout reposant. Avant tout, nous allons au cimetière des Alpins déposer nos fleurs pour ne pas faire une entrée triomphale qui serait grotesque. De là, nous allons à la recherche du médecin divisionnaire Louis qu’on nous dit être à l’{{corr|hotel|hôtel}} du Lac avec {{corr|Haesler|Hassler}} ; nous nous y rendons et sommes reçues si aimablement, avec des louanges tellement hyperboliques que cela en est gênant ; nous retrouvons {{Mlle|de Ronceray}}, des Peupliers, {{Mlle|de Miribel}} ; Julie est reconnue par {{Mlle}}
Arrivée vers 2 heures ½ à Gérardmer ; le pays est splendide, ce lac au milieu des montagnes couvertes de sapins forme un paysage tout reposant. Avant tout, nous allons au cimetière des Alpins déposer nos fleurs pour ne pas faire une entrée triomphale qui serait grotesque. De là, nous allons à la recherche du médecin divisionnaire Louis qu’on nous dit être à l’{{corr|hotel|hôtel}} du Lac avec {{corr|Haesler|Hassler}} ; nous nous y rendons et sommes reçues si aimablement, avec des louanges tellement hyperboliques que cela en est gênant ; nous retrouvons {{Mlle|de {{corr|Ronceray|Ronseray}}}}, des Peupliers, {{Mlle|de Miribel}} ; Julie est reconnue par {{Mlle}}