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 s’apercevoir.
-Le lendemain du retour d’Etienne, Eliane très rassérénée et
+Le lendemain du retour d’Étienne, Éliane très rassérénée et
-ayant recouvré tout son aplon1b, alla trouver sa sœur et avec
+ayant recouvré tout son aplomb, alla trouver sa sœur et avec
-mille cajoleries lui insinua qu’elle avait hâte de 1·egagner le Berri.
+mille cajoleries lui insinua qu’elle avait hâte de regagner le Berri.
 La comtesse parut étonnée : « Pourquoi, dit-elle, es-tu si pressée
-de partir ; tu t’a1nuses ici ; on y est si bien et d’ailleurs ce ne sera
+de partir ; tu t’amuses ici ; on y est si bien et d’ailleurs ce ne sera
 pas long puisque nous devons être rentrés pour la fête de mon
-beau-père ; il n’y a que quinze jours d’ici là ». Eliane insista.
+beau-père ; il n’y a que quinze jours d’ici là ». Éliane insista.
-« Tu compreRds, fit-elle enfin en baissant m~destement les yeux
+« Tu comprends, fit-elle enfin en baissant modestement les yeux
-et en jouant avec un plissé de sa jupe... c’est par délicatesse que
+et en jouant avec un plissé de sa jupe… c’est par délicatesse que