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« Il ne saurait donc être ici question de détruire la concurrence, chose aussi impossible que de détruire la liberté ; il s’agit d’en trouver l’équilibre, je dirais volontiers la ''police''. »</div> |
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M. Proudhon commence par défendre la nécessité éternelle de la concurrence contre ceux qui la veulent remplacer par l’''émulation''. |
M. Proudhon commence par défendre la nécessité éternelle de la concurrence contre ceux qui la veulent remplacer par l’''émulation''. |
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Il n’y a pas « d’émulation sans but », et comme |
Il n’y a pas « d’émulation sans but », et comme |
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« l’objet de toute passion est nécessairement analogue à la passion elle-même, d’une |
« l’objet de toute passion est nécessairement analogue à la passion elle-même, d’une femme pour l’amant, du pouvoir pour l’ambitieux, de l’or pour l’avare, une couronne pour le poète, l’objet de l’émulation industrielle est nécessairement le ''profit''. L’émulation n’est pas autre chose que la concurrence même. » |
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La concurrence est l’émulation en vue du profit. L’émulation industrielle est-elle |
La concurrence est l’émulation en vue du profit. L’émulation industrielle est-elle nécessairement l’émulation en vue du profit, c’est-à-dire la concurrence ? M. Proudhon le prouve en l’affirmant. Nous l’avons vu : affirmer, pour lui, c’est prouver, de même que supposer c’est nier. |
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