« La Voix de Guernesey » : différence entre les versions
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→II. O sinistre vieillard : fautes de" frappe",accents oubliés en trop ... |
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Ligne 83 :
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O sinistre vieillard, te voilà responsable
Du vautour déterrant un crâne dans le
Et du croassement lugubre des corbeaux !
Emplissez désormais ses visions, tombeaux,
Paysages hideux
Silhouettes d’oiseaux perchés sur des squelettes !
S’il dort, apparais-lui, champ de bataille noir !
Ligne 99 :
Le roi de Prusse a ri ; le denier de Saint-Pierre
Prospère, et l’Irlandais donne son dernier sou ;
Le peuple cède et met en terre
De peur qu’on ne le fauche ; il plie, étant de l’herbe ;
On reprend Frosinone et l’on rentre à Viterbe ;
Ligne 108 :
Garibaldi n’est plus qu’un vain nom immortel ;
Comme Léonidas, comme Guillaume Tell ;
Le pape, à la Sixtine, au Gésu, chez
Met tous ses diamants ; tendre ; il répand des larmes
De joie ; il est très doux ; il parle du succès
De ses armes ; du sang versé, des
Des quantités
Modestement, les yeux baissés, comme un poète
Se fait un peu prier pour réciter ses vers.
Ligne 122 :
Dans les perles, la soie et l’or, parmi tes reîtres
Qu’hier, du
Pape, assis, sur ton trône et siégeant, sous ton dais,
Coiffé de ta tiare aux trois
Tu verras quelque jour au Vatican peut-être
Entrer un homme triste et
Un pauvre, un inconnu. Tu lui diras : ― Qu’es-tu,
Passant ? que me veux-tu ? sors-tu de quelque geôle ?
Pourquoi voit-on ces brins de laine à ton épaule ?
― Une brebis était tout à l’heure dessus,
Répondra-t-il. Je
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== III. ''Une chaîne au héros !''==
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