« Page:La Nouvelle Revue - 1899 - tome 117.djvu/459 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
jouissaient dans le pays |
jouissaient dans le pays n’étaient proches d’aucune route ni sur |
||
le passage d’aucun sentier |
le passage d’aucun sentier important. La solitude y demeurait donc |
||
introublée pour |
introublée pour Étienne et il en profitait largement. Souvent il |
||
arrivait à cheval et dessellant aussitôt Rob Roy, laissait l’animal |
arrivait à cheval et dessellant aussitôt {{lang|en|Rob Roy}}, laissait l’animal |
||
satisfaire en liberté ses caprices. Quand il n’apercevait plus à travers |
satisfaire en liberté ses caprices. Quand il n’apercevait plus à travers |
||
le feuillage des rares buissons, son joli poil fauve à reflets |
le feuillage des rares buissons, son joli poil fauve à reflets |
||
d’or, il le sifflait et Rob Roy accourait au galop. Ces jours |
d’or, il le sifflait et {{lang|en|Rob Roy}} accourait au galop. Ces jours-là, quand |
||
le feu brillait, l’installation d’Etienne ressemblait assez à. uri campement : |
le feu brillait, l’installation d’Etienne ressemblait assez à. uri campement : |
||
la selle et la sangle trainaient sur l’herbe et le jeune |
la selle et la sangle trainaient sur l’herbe et le jeune |