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{{Taille|1827. — Discours de Boyer à l’installation de la 3{{e}} législature. — Lois votées pour obvier au déficit occasionné dans les revenus publics par l’ordonnance de Charles X, et conséquence de ces mesures, — Diverses autres lois sur les finances. — Le général Voltaire est nommé grand juge de la République. — Origine probable d’un complot formé contre le pouvoir et la vie de Boyer : dénonciation, arrestation de quelques militaires qui sont jugés, condamnés à mort et exécutés. — Le général B. Noël est suspecté d’en être le chef et perd le commandement de l’arrondissement du Mirebalais. — Proclamation du Président d’Haïti relative au complot. — Explosion à l’arsenal du Port-au-Prince, incendie et pertes qu’elle occasionne. — Boyer échappe au danger d’y périr et à une grave maladie ensuite. — Ouragan dans le département du Sud-Est. — 1828. Retrait de la circulation, des billets de caisse de 5 gourdes et de la monnaie ''à serpent.'' — Session législative et lois rendues. — 1829. Négociations suivies en France et eu Haïti, pour des projets de convention financière et de traité de commerce et de navigation entre les deux pays : ils sont signés et envoyés eu France. — Intention supposée au gouvernement d’Espagne, de faire une tentative contre l’Est d’Haïti, et mesures militaires, — Session législative, lois votées et mesures administratives. — 1830. Ferdinand VII envoie un plénipotentiaire chargé de reclamer l’ancienne colonie de l’Espagne : refus motivé du gouvernement. — Proclamation du Président d’Haïti à ce sujet, et publication de documens. — La Grande-Bretagne ouvre les ports des îles Bahama au commerce haïtien. — Le gouvernement français ne ratifie pas les projets signés à Haïti, et y envoie un agent pour négocier de nouveau. — Autres projets non terminés et retour de l’agent en France. — Boyer y envoie M. Saint-Macary pour suivre la négociation. — Elle est interrompue par la Révolution de juillet. — Message de Boyer au Sénat, à l’occasion de cet événement : il prend une attitude expectante. — Sentimens éprouves en Haïti, à la nouvelle reçue de la révolution. — Session législative, discours de Boyer et du président de la Chambre des communes. — Lois votées et mesures administratives. — Circulaire du secretaire d’Etat aux administrateurs, pour faire cesser au 1{{er}} janvier 1831, le demi-droit accorde aux navires et au commerce français.|85}}
{{Taille|1827. — Discours de Boyer à l’installation de la 3{{e}} législature. — Lois votées pour obvier au déficit occasionné dans les revenus publics par l’ordonnance de Charles X, et conséquence de ces mesures, — Diverses autres lois sur les finances. — Le général Voltaire est nommé grand juge de la République. — Origine probable d’un complot formé contre le pouvoir et la vie de Boyer : dénonciation, arrestation de quelques militaires qui sont jugés, condamnés à mort et exécutés. — Le général B. Noël est suspecté d’en être le chef et perd le commandement de l’arrondissement du Mirebalais. — Proclamation du Président d’Haïti relative au complot. — Explosion à l’arsenal du Port-au-Prince, incendie et pertes qu’elle occasionne. — Boyer échappe au danger d’y périr et à une grave maladie ensuite. — Ouragan dans le département du Sud-Est. — 1828. Retrait de la circulation, des billets de caisse de 5 gourdes et de la monnaie ''à serpent.'' — Session législative et lois rendues. — 1829. Négociations suivies en France et en Haïti, pour des projets de convention financière et de traité de commerce et de navigation entre les deux pays : ils sont signés et envoyés en France. — Intention supposée au gouvernement d’Espagne, de faire une tentative contre l’Est d’Haïti, et mesures militaires, — Session législative, lois votées et mesures administratives. — 1830. Ferdinand VII envoie un plénipotentiaire chargé de réclamer l’ancienne colonie de l’Espagne : refus motivé du gouvernement. — Proclamation du Président d’Haïti à ce sujet, et publication de documens. — La Grande-Bretagne ouvre les ports des îles Bahama au commerce haïtien. — Le gouvernement français ne ratifie pas les projets signés à Haïti, et y envoie un agent pour négocier de nouveau. — Autres projets non terminés et retour de l’agent en France. — Boyer y envoie M. Saint-Macary pour suivre la négociation. — Elle est interrompue par la Révolution de juillet. — Message de Boyer au Sénat, à l’occasion de cet événement : il prend une attitude expectante. — Sentimens éprouves en Haïti, à la nouvelle reçue de la révolution. — Session législative, discours de Boyer et du président de la Chambre des communes. — Lois votées et mesures administratives. — Circulaire du secrétaire d’Etat aux administrateurs, pour faire cesser au 1{{er}} janvier 1831, le demi-droit accorde aux navires et au commerce français.|85}}


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