« Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t5.djvu/338 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « pouvoit appeler ^ de faux jugement ; car il auroit toujours appelé, ou pour prolonger sa vie, ou pour faire la paix. Si quelqu’un * disoit que le jugement étoit faux... » |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
⚫ | |||
pouvoit appeler |
|||
<ref> |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
appelé, ou pour prolonger sa vie, ou pour faire la paix. |
appelé, ou pour prolonger sa vie, ou pour faire la paix. |
||
⚫ | |||
et n’offroit pas de le faire tel, c’est-à-dire de combattre, |
|||
il étoit condamné à dix sous d’amende s’il étoit |
|||
gentilhomme, et à cinq sous s*il étoit serf, pour les vilaines |
|||
paroles qu’il avoit dites. |
|||
Si quelqu’un |
|||
⚫ | |||
<ref> |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
et n’offroit pas de le faire tel, c’est-à-dire de combattre, il étoit condamné à dix sous d’amende s’il étoit gentilhomme, et à cinq sous s*il étoit serf, pour les vilaines paroles qu’il avoit dites. |
|||
Les juges |
|||
<ref> |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
perdre ni la vie ni les membres ; mais celui qui |
perdre ni la vie ni les membres ; mais celui qui |
||
les appeloit étoit puni de mort, lorsque l’affaire étoit |
les appeloit étoit puni de mort, lorsque l’affaire étoit capitale |
||
<ref> |
|||
capitale * . |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
</ref>. |
|||
Cette manière d’appeler les hommes de fief pour faux |
Cette manière d’appeler les hommes de fief pour faux |
||
Ligne 24 : | Ligne 35 : | ||
Si le seigneur ^ étoit si pauvre qu’il ne fût pas en état |
Si le seigneur ^ étoit si pauvre qu’il ne fût pas en état |
||
de prendre des pairs de son seigneur suzerain, ou qu’il |
de prendre des pairs de son seigneur suzerain, ou qu’il |
||
⚫ | |||
⚫ | |||
⚫ | |||
. Voyez Défont., ch. xxi, art. il, 12 et suivants, qui distingue les cas |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
. Beaum., ch. lxii, p. 322. Défont., ch. xxii, art. 3. (M.) |
. Beaum., ch. lxii, p. 322. Défont., ch. xxii, art. 3. (M.) |