« Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/253 » : différence entre les versions

ThomasBot (discussion | contributions)
m Phe: split
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 3 : Ligne 3 :
Enfin, Hatteras prit la parole.
Enfin, Hatteras prit la parole.


Johnson, dit-il, je vous remercie ; vous avez tout fait pour sauver mon navire ; mais, seul, vous ne pouviez résister. Encore une fois, je vous remercie, et ne parlons plus de cette catastrophe. Réunissons nos efforts pour le salut commun. Nous sommes ici quatre compagnons, quatre amis, et la vie de l’un vaut la vie de l’autre. Que chacun donne donc son opinion sur ce qu’il convient de faire.
« Johnson, dit-il, je vous remercie ; vous avez tout fait pour sauver mon navire ; mais, seul, vous ne pouviez résister. Encore une fois, je vous remercie, et ne parlons plus de cette catastrophe. Réunissons nos efforts pour le salut commun. Nous sommes ici quatre compagnons, quatre amis, et la vie de l’un vaut la vie de l’autre. Que chacun donne donc son opinion sur ce qu’il convient de faire.


— Interrogez-nous, Hatteras, répondit le docteur ; nous vous sommes tout dévoués, nos paroles viendront du cœur. Et d’abord, avez-vous une idée ?
— Interrogez-nous, Hatteras, répondit le docteur ; nous vous sommes tout dévoués, nos paroles viendront du cœur. Et d’abord, avez-vous une idée ?
Ligne 19 : Ligne 19 :
— Et, dit Johnson, à quelle distance sommes-nous de la mer la plus rapprochée dans l’ouest ?
— Et, dit Johnson, à quelle distance sommes-nous de la mer la plus rapprochée dans l’ouest ?


— À six cents milles environ58, répondit Hatteras.
— À six cents milles environ<ref>Deux cent quarante-sept lieues environ.</ref>, répondit Hatteras.


— Et cette mer, c’est… ?
— Et cette mer, c’est… ?