« Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Hugo, Pagnerre, 1868, tome 7.djvu/311 » : différence entre les versions

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{{Numérotation|SCÈNE XII.||307|}}
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{{tiret2|mé|nestrels}} ? Si tu fais de nous des ménestrels, prépare toi à n’entendre que désaccords.
{{tiret2|mé|nestrels}} ? Si tu fais de nous des ménestrels, prépare toi à n’entendre que désaccords.
{{didascalie|Mettant la main sur son épée.|g|3}}
{{didascalie|Mettant la main sur son épée.|g|3}}
Voici mon archet ; voici qui vous fera danser. Sangdieu, de concert !
Voici mon archet ; voici qui vous fera danser. Sang-dieu, de concert !


{{Personnage|BENVOLIO|c}}
{{Personnage|BENVOLIO.|c}}
— Nous parlons ici sur la promenade publique ; — ou retirons-nous dans quelque lieu écarté, — ou raisonnons froidement de nos griefs, — ou enfin séparons-nous. Ici tous les yeux se fixent sur nous.
— Nous parlons ici sur la promenade publique ; — ou retirons-nous dans quelque lieu écarté, — ou raisonnons froidement de nos griefs, — ou enfin séparons-nous. Ici tous les yeux se fixent sur nous.


{{Personnage|MERCUTIO|c}}
{{Personnage|MERCUTIO.|c}}
— Les yeux des hommes sont faits pour voir : laissons-les se fixer sur nous : — aucune volonté humaine ne me fera bouger, moi {{refl|90|nosup|num=(90)}}!
— Les yeux des hommes sont faits pour voir : laissons-les se fixer sur nous : — aucune volonté humaine ne me fera bouger, moi {{ancre|Ret_90}}[[Œuvres complètes de Shakespeare/Traduction Hugo, 1868/Tome 7/Notes#lien_90|(90)]] !



{{didascalie|Entre {{sc|Roméo}}.}}
{{didascalie|Entre {{sc|Roméo}}.|c}}


{{PersonnageD|TYBALT|c|à Mercutio.}}
{{PersonnageD|TYBALT|c|à Mercutio.}}
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Voici mon homme.
Voici mon homme.


{{Personnage|MERCUTIO|c}}
{{Personnage|MERCUTIO.|c}}
— Je veux être pendu, messire, si celui-là porte votre livrée : — morbleu, allez sur le terrain, il sera de votre suite ; — c’est dans ce sens-là que Votre Seigneurie peut l’appeler son homme.
— Je veux être pendu, messire, si celui-là porte votre livrée : — morbleu, allez sur le terrain, il sera de votre suite ; — c’est dans ce sens-là que Votre Seigneurie peut l’appeler son homme.


{{Personnage|TYBALT|c}}
{{Personnage|TYBALT.|c}}
— Roméo, l’amour que je te porte ne me fournit pas — de terme meilleur que celui-ci : Tu es un infâme !
— Roméo, l’amour que je te porte ne me fournit pas — de terme meilleur que celui-ci : Tu es un infâme !


{{Personnage|ROMÉO|c}}
{{Personnage|ROMÉO.|c}}
— Tybalt, les raisons que j’ai de t’aimer — me font excuser la rage qui éclate — par un tel salut {{refl|91|nosup|num=(91)}}… Je ne suis pas un infâme… Ainsi, adieu : je vois que tu ne me connais pas.
— Tybalt, les raisons que j’ai de t’aimer — me font excuser la rage qui éclate — par un tel salut {{ancre|Ret_91}}[[Œuvres complètes de Shakespeare/Traduction Hugo, 1868/Tome 7/Notes#lien_91|(91)]]… Je ne suis pas un infâme… - Ainsi, adieu : je vois que tu ne me connais pas.
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