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{{ancre|lien_25}}(25)<ref follow=p390>mot il se rapportait à César, et en conséquence il a prêté cette réponse à Octave : |
{{ancre|lien_25}}[[Antoine et Cléopatre/Traduction Hugo, 1868#Ret_25|(25)]]<ref follow=p390>mot ''il'' se rapportait à ''César'', et en conséquence il a prêté cette réponse à Octave : |
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<poem class="verse" >{{caché|I have many}}Let the old ruffian Know, |
<poem class="verse" >{{caché|I have many}}Let the old ruffian Know, |
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I have many other ways to die.</poem> |
I have many other ways to die.</poem> |
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Que le vieux Ruffian sache — que |
Que le vieux Ruffian sache — que j’''ai'' bien d’autres moyens de mourir. |
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Il suffit de consulter le texte grec pour reconnaître la méprise. Octave ne réplique pas que c’est lui-même, mais son adversaire qui a bien d’autres moyens de mourir. La phrase de Plutarque, littéralement traduite, dissipe toute équivoque ; la voici : « Après cela, Antoine envoya défier César à combattre corps à corps et reçut pour réponse qu’il pourrait trouver d’autres moyens de terminer sa vie. »</ref> « Parquoi Antonius voyant qu’il ne restait point de plus |
Il suffit de consulter le texte grec pour reconnaître la méprise. Octave ne réplique pas que c’est lui-même, mais son adversaire qui a bien d’autres moyens de mourir. La phrase de Plutarque, littéralement traduite, dissipe toute équivoque ; la voici : « Après cela, Antoine envoya défier César à combattre corps à corps et reçut pour réponse qu’il pourrait trouver d’autres moyens de terminer sa vie. »</ref> « Parquoi Antonius voyant qu’il ne restait point de plus |
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''qu’y mourir vaillamment avec gloire''. » |
''qu’y mourir vaillamment avec gloire''. » |
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{{ancre|lien_26}}[[Antoine et Cléopatre/Traduction Hugo, 1868#Ret_26|(26)]] « Au demeurant cette nuit même environ la minuit presque, |
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comme toute la ville était en silence, frayeur et tristesse, pour l’attente |
comme toute la ville était en silence, frayeur et tristesse, pour l’attente |
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de l’issue de cette guerre, on dit que soudainement on ouït |
de l’issue de cette guerre, on dit que soudainement on ouït |
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musique, avec la clameur d’une grande multitude, comme si c’eussent |
musique, avec la clameur d’une grande multitude, comme si c’eussent |
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été des gens qui eussent dansé et qui fussent allés chantant, ainsi |
été des gens qui eussent dansé et qui fussent allés chantant, ainsi |
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qu’on fait |
qu’on fait ès fêtes de Bacchus, avec mouvement et saltations satyriques ; |
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et semblait que cette danse passât tout à travers de la ville |
et semblait que cette danse passât tout à travers de la ville |
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par la porte qui répondait au camp des ennemis, et par cette porte |
par la porte qui répondait au camp des ennemis, et par cette porte |
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dont on oyait le bruit, toute la troupe sortit hors de la ville. Si fut |
dont on oyait le bruit, toute la troupe sortit hors de la ville. Si fut |
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avis à ceux qui, avec quelque raison, cherchèrent l’interprétation |
avis à ceux qui, avec quelque raison, cherchèrent l’interprétation |
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de ce prodige que c’était le dieu auquel Antonius |
de ce prodige que c’était ''le dieu auquel Antonius avait'', singulière |
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dévotion de le contrefaire et affection de lui ressembler, qui le |
''dévotion'' de le contrefaire et affection de lui ressembler, ''qui le'' |
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laissait. » |
''laissait''. » |
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{{ancre|lien_27}}(27) |
{{ancre|lien_27}}[[Antoine et Cléopatre/Traduction Hugo, 1868#Ret_27|(27)]] « Le lendemain à la point du jour, il alla parquer le peu de |