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Le règne finissait mieux qu’on ne l’eût pu croire. En quoi des contingences heureuses avaient joué le principal rôle. Rendu plus circonspect et plus avisé, Louis {{rom-maj|xi|11}}, par son activité et l’adresse de ses incessantes intrigues, y avait eu aussi quelque part. Enfin, doit-on noter les services de Philippe de Commines (1447-1511), historien célèbre doublé d’un homme {{corr|d’Etat|d’État}} trop négligé. {corr|A|À}} l’intérieur, il est vrai, les résultats étaient loin d’équivaloir aux avantages extérieurs obtenus pendant les six dernières années. Louis {{rom-maj|xi|11}} avait gouverné par saccades capricieuses non sans aspirations clairvoyantes. Il voulait réaliser l’unité des poids et mesures et la suppression des péages, conclure des traités de commerce, faire admettre par la noblesse qu’elle ne dérogeait pas en commerçant (innovation alors prématurée). |
Le règne finissait mieux qu’on ne l’eût pu croire. En quoi des contingences heureuses avaient joué le principal rôle. Rendu plus circonspect et plus avisé, Louis {{rom-maj|xi|11}}, par son activité et l’adresse de ses incessantes intrigues, y avait eu aussi quelque part. Enfin, doit-on noter les services de Philippe de Commines (1447-1511), historien célèbre doublé d’un homme {{corr|d’Etat|d’État}} trop négligé. {{corr|A|À}} l’intérieur, il est vrai, les résultats étaient loin d’équivaloir aux avantages extérieurs obtenus pendant les six dernières années. Louis {{rom-maj|xi|11}} avait gouverné par saccades capricieuses non sans aspirations clairvoyantes. Il voulait réaliser l’unité des poids et mesures et la suppression des péages, conclure des traités de commerce, faire admettre par la noblesse qu’elle ne dérogeait pas en commerçant (innovation alors prématurée). Beaucoup |
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des réformes dont on fait honneur à son initiative ou à ses |
des réformes dont on fait honneur à son initiative ou à ses |
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intentions avaient ; été prépar ôes et préconisées par les E tats généraux |
intentions avaient ; été prépar ôes et préconisées par les E tats généraux |