« Page:Dumas - La Princesse Flora (1871).djvu/79 » : différence entre les versions
m Phe: split |
m →Page corrigée : ajout d'un modèle numérotation en entête, mise en forme |
||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Numérotation|{{sc|la princesse flora}}||75}} |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
Enfin, j’ai beau raisonner ou déraisonner, je n’ai pu échapper aux suites du passé ; l’affaire était faite. Le duel a dû avoir lieu ; tu me manquais seulement comme témoin. |
Enfin, j’ai beau raisonner ou déraisonner, je n’ai pu échapper aux suites du passé ; l’affaire était faite. Le duel a dû avoir lieu ; tu me manquais seulement comme témoin. |
||
C’était ce matin que nous devions nous rencontrer. À dix heures du matin, nous sommes arrivés au lieu du |
C’était ce matin que nous devions nous rencontrer. À dix heures du matin, nous sommes arrivés au lieu du rendez‑vous ; nous nous sommes salués avec une exquise courtoisie, et, tandis que nos témoins s’éloignaient de nous pour mesurer les pas, mon adversaire, en vertu de l’axiome russe que « le matin est plus difficile que le soir, » s’est approché de moi d’un air caressant, plus calme que l’eau et plus humble que l’herbe. |
||
— Il me semble, capitaine, me dit-il avec son |
— Il me semble, capitaine, me dit-il avec son |