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une telle union.</ref>, président à de sanglantes ou impuissantes intrigues sans cesse renouvelées et auxquelles la religion sert de prétexte.
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La faute initiale en est à François {{rom-maj|i|1}}{{er}} dont l’attitude à l’égard du protestantisme naissant a été pitoyable d’incohérence et de faiblesse. D’abord sous l’influence de sa sœur Marguerite, il avait protégé les audaces de Lefèvre {{corr|d’Etaples|d’Étaples}}. Charmante figure que celle de ce vieux professeur de l’université adonné au culte des lettres et des sciences et les délaissant sur le tard<section end="s2"/>
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l’égard du protestantisme naissant a été pitoyable d’incohérence
et de faiblesse. D’abord sous l’influence de sa sœur Margμerite,
il avait protégé les audaces de Lefèvre d’Etaples. Charmante
figure que celle de ce vieux professeur de l’université adonné au
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