« Page:Leroy-Beaulieu, Essai sur la répartition des richesses, 1881.djvu/582 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> La propriété foncière n’est pas dans une situation autre que toutes les entreprises humaines. Nombreux cas de baisse de la rente de la terre, dans tout u... » |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<nowiki /> |
<nowiki /> |
||
La propriété foncière n’est pas dans une situation autre que toutes les entreprises humaines. Nombreux cas de baisse de la rente de la terre, dans |
|||
tout un pays. <br />Le législateur n’est pas tenu d’intervenir pour maintenir les fermages à un taux déterminé. La baisse des fermages n’amène pas la mise en friche des terres. — Le bon marché des produits agricoles n’entraîne pas nécessairement une baisse des salaires. — La diminution de la rente de la terre n’appauvrit en rien la nation et profite au rapprochement des conditions.|page={{pli|103|8}}}} |
|||
{{c|[[Essai sur la répartition des richesses/4|CHAPITRE IV]]}} |
{{c|[[Essai sur la répartition des richesses/4|CHAPITRE IV]]}} |