« Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1901.djvu/275 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « {{g|{{t|<poem>Les nuits, plus douces que les jours, Ont enchante des veux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d’ombres. Ah ! qu... » |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
Les étoiles brillent toujours |
Les étoiles brillent toujours |
||
Et les yeux se sont remplis d’ombres. |
Et les yeux se sont remplis d’ombres. |
||
Ah ! qu’ils aient perdu le regard. |
Ah ! qu’ils aient perdu le regard. |
||
Non ! non ! cela n’est pas possible. |
Non ! non ! cela n’est pas possible. |
||
Ils se sont tournés quelque part |
Ils se sont tournés quelque part |
||
Vers ce qu’on nomme l’Invisible. |
Vers ce qu’on nomme l’Invisible. |
||
Et comme les astres penchants, |
Et comme les astres penchants, |
||
Nous quittent, mais au ciel demeurent. |
Nous quittent, mais au ciel demeurent. |
||
Les prunelles ont leurs couchants, |
Les prunelles ont leurs couchants, |
||
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent. |
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent. |
||
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux. |
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux. |
||
Ouverts à quelque immense aurore. |
Ouverts à quelque immense aurore. |
||
De l’autre coté des tombeaux, |
De l’autre coté des tombeaux, |
||
Les veux qu’on ferme voient encore. |
Les veux qu’on ferme voient encore.</poem>|90}}|4}} |