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Les étoiles brillent toujours
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d’ombres.
Et les yeux se sont remplis d’ombres.

Ah ! qu’ils aient perdu le regard.
Ah ! qu’ils aient perdu le regard.
Non ! non ! cela n’est pas possible.
Non ! non ! cela n’est pas possible.
Ils se sont tournés quelque part
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu’on nomme l’Invisible.
Vers ce qu’on nomme l’Invisible.

Et comme les astres penchants,
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent.
Nous quittent, mais au ciel demeurent.
Les prunelles ont leurs couchants,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent.
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent.

Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux.
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux.
Ouverts à quelque immense aurore.
Ouverts à quelque immense aurore.
De l’autre coté des tombeaux,
De l’autre coté des tombeaux,
Les veux qu’on ferme voient encore.
Les veux qu’on ferme voient encore.</poem>|90}}|4}}