Wikisource

« Page:Coubertin - Une campagne de vingt-et-un ans, 1909.djvu/175 » : différence entre les versions

Navigation interactive dans l’historique
Modification suivante →
→‎Page non corrigée : Page créée avec « Victor-Emmanuel {{rom-maj|ii|2}} et la proclamation du fameux statut de Charles-Albert. Pour réaliser un tel programme, il fallait l’appui direct du gouvernement italie... »
 
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
Victor-Emmanuel {{rom-maj|ii|2}} et la proclamation du fameux statut de Charles-Albert. Pour réaliser un tel programme, il fallait l’appui direct du gouvernement italien et passablement d’argent. Les pouvoirs publics pressentis se montrèrent sympathiques mais en se retranchant, comme on pouvait s’y attendre, devant l’impossibilité de prendre cinq ans d’avance des engagements fermes à l’égard d’une entreprise qui se dessinait
Victor-Emmanuel {{rom-maj|ii|2}} et la proclamation du fameux statut de Charles-Albert. Pour réaliser un tel programme, il fallait l’appui direct du gouvernement italien et passablement d’argent. Les pouvoirs publics pressentis se montrèrent sympathiques mais en se retranchant, comme on pouvait s’y attendre, devant l’impossibilité de prendre cinq ans d’avance des engagements fermes à l’égard {{Img float
| style = font-size:80%; margin-top:1em; margin-left:1em
| above =
| file = Coubertin - Une campagne de vingt-et-un ans, 1909 (page 175 crop).jpg
| width = 250px
| align = left
| cap = {{sc|sir howard vincent}}<br />''Membre du Comité International Olympique pour l’Angleterre
| capalign = center
| alt = Sir Howard Vincent
}}d’une entreprise qui se dessinait
à peine. Il eût été naïf d’espérer une autre réponse. Celle-ci pourtant paraît avoir découragé d’emblée le conseil général de la Fédération car quelques mois plus tard une nouvelle communication du sénateur Todaro m’informait du retrait de la demande relative à la célébration des Jeux de 1908. Retrait officiel ;
à peine. Il eût été naïf d’espérer une autre réponse. Celle-ci pourtant paraît avoir découragé d’emblée le conseil général de la Fédération car quelques mois plus tard une nouvelle communication du sénateur Todaro m’informait du retrait de la demande relative à la célébration des Jeux de 1908. Retrait officiel ;
mais M. Ballerini persistait,
mais M. Ballerini persistait,
Récupérée de « https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Coubertin_-_Une_campagne_de_vingt-et-un_ans,_1909.djvu/175 »