« Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, II.djvu/109 » : différence entre les versions
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
Et maître de son cœur, de son âme peut-être, |
Et maître de son cœur, de son âme peut-être, |
||
Mais de son esprit, plus. |
Mais de son esprit, plus. |
||
{{Caché|Mais de son esprit, plus.}}Ce fut bien, ce fut beau |
{{Caché|Mais de son esprit, plus.}}Ce fut bien, ce fut beau, |
||
Et c’eût été trop bon, n’eût été le tombeau. |
Et c’eût été trop bon, n’eût été le tombeau. |
||
Jugez. |
Jugez. |
||
{{Caché|Jugez.}}En même temps que toutes mes idées, |
{{Caché|Jugez.}}En même temps que toutes mes idées, |
||
(Les bonnes !) entraient dans son esprit, précédées |
(Les bonnes !) entraient dans son esprit, précédées |
||
De l’Amitié jonchant leur passage de fleurs |
De l’Amitié jonchant leur passage de fleurs, |
||
De lui, simple et blanc comme un lys calme aux couleurs |
De lui, simple et blanc comme un lys calme aux couleurs |
||
D’innocence candide et d’espérance verte |
D’innocence candide et d’espérance verte, |
||
L’Exemple descendait sur mon Âme entr’ouverte |
L’Exemple descendait sur mon Âme entr’ouverte |
||
Et sur mon cœur qu’il pénétrait plein de pitié ; |
Et sur mon cœur qu’il pénétrait plein de pitié ; |