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L’Union des Sports athlétiques était maintenant bien pourvue de tout ce qui lui était nécessaire pour vivre et prospérer et j’aurais voulu la quitter. Ses membres honoraires étaient nombreux et assuraient à son budget une base fixe. De Chicago, je lui avais encore adressé deux adhésions et non des moindres, celles du professeur Pozzi et de Paul Bourget. Des relations internationales solides étaient nouées avec l’Angleterre. En 1893, nous avions conduit à Londres l’équipe de football du Racing-Club. En 1894, je l’accompagnai à Oxford et puis ce fut le tour du team universitaire de venir à Paris. Le Stade Français, d’autre part, avait réussi à battre ses visiteurs anglais ; c’était un succès inespéré de nature à surexciter l’amour-propre britannique en même temps qu’à encourager nos jeunes gens sans leur inspirer toutefois une trop grande confiance en eux-mêmes ; du reste, de nouvelles défaites vinrent bientôt leur prouver qu’ils avaient encore fort à faire pour égaler leurs rivaux d’outre-Manche. |
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Pozzi et de Paul Bourget. Des relations internationales |
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conduit à Londres l’équipe de football du Racing-Club. En 1894,je |
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Après une odyssée un peu comique, l’ Union s’était établie dans |
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