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| cap = {{sc|le manège du jardin d’acclimatation {{corr|ou|où}} eut lieu, le 6 juin 1889, le concours d’équitation) |
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| alt = Manège du jardin d’acclimatation |
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}}grand’chose si, ce jour-là, les représentants de la Suède étaient venus entendre la ''Marseillaise''. Les gymnastes, est-il besoin de le dire, travaillèrent superbement. Ils étaient commandés par Viktor Balck ; de là date notre fidèle amitié. Le samedi soir 15 juin, le Congrès proprement dit s’ouvrit dans le grand amphithéâtre de l’{{corr|Ecole|École}} des Ponts et Chaussées. L’annonce partout répétée d’un discours de Jules Simon n’avait attiré cette fois qu’un auditoire restreint ; il y eut beaucoup plus de monde le mardi 18 pour la conférence du {{Dr}} Lagrange. Cela n’empêcha pas notre président de s’élever à la plus haute éloquence ; je ne me rappelle rien de plus beau que sa péroraison de ce soir-là, si ce n’est le discours de 1892 dont je parlerai plus loin. « Quand on monte sur les monts, s’écria-t-il, et qu’on voit de là l’humanité, il |
}}grand’chose si, ce jour-là, les représentants de la Suède étaient venus entendre la ''Marseillaise''. Les gymnastes, est-il besoin de le dire, travaillèrent superbement. Ils étaient commandés par Viktor Balck ; de là date notre fidèle amitié. Le samedi soir 15 juin, le Congrès proprement dit s’ouvrit dans le grand amphithéâtre de l’{{corr|Ecole|École}} des Ponts et Chaussées. L’annonce partout répétée d’un discours de Jules Simon n’avait attiré cette fois qu’un auditoire restreint ; il y eut beaucoup plus de monde le mardi 18 pour la conférence du {{Dr}} Lagrange. Cela n’empêcha pas notre président de s’élever à la plus haute éloquence ; je ne me rappelle rien de plus beau que sa péroraison de ce soir-là, si ce n’est le discours de 1892 dont je parlerai plus loin. « Quand on monte sur les monts, s’écria-t-il, et qu’on voit de là l’humanité, il |