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Bien que son bagage littéraire soit très léger, un rondeau dans les œuvres de Charles d’Orléans<ref>Éd. d’Héricault, t. II, p. 183.</ref>, une ballade (n{{o}} {{sc|xxvi}}, p. 23) et un rondeau (n{{o}} {{sc|lxxxviii}}, p. 77) dans notre recueil, le seigneur de Torcy jouissait au {{sc|xv}}{{e}} siècle d’une grande réputation littéraire, et Blosseville,
Bien que son bagage littéraire soit très léger, un rondeau dans les œuvres de Charles d’Orléans<ref>Éd. d’Héricault, t. II, p. 183.</ref>, une ballade (n{{o}} {{sc|xxvi}}, p. 23) et un rondeau (n{{o}} {{sc|lxxxviii}}, p. 77) dans notre recueil, le seigneur de Torcy jouissait au {{sc|xv}}{{e}} siècle d’une grande réputation littéraire, et Blosseville,
dont il était le contemporain, l’a choisi comme juge de son ''Debat du Viel et du Jeune''<ref>Voy. A. de Montaiglon, ''Rec. de poésies fr.'', t. IX, p. 218 et 234.</ref>, à côté de Pierre de Brézé.
dont il était le contemporain, l’a choisi comme juge de son ''Debat du Viel et du Jeune''<ref>Voy. A. de Montaiglon, ''Rec. de poésies fr.'', t. IX, p. 218 et 234.</ref>, à côté de Pierre de Brézé.
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{{sc|Vaillant}}. — Les renseignements biographiques manquent sur ce poète. Nous trouvons en 1403 et 1404 un Mathelin Vaillant, garde en Sologne des hommes et des femmes de corps de Louis d’Orléans<ref>Bibl. nat., Pièces orig., dossier {{sc|Vaillant}}.</ref>. Ce personnage est sans doute le père de notre Vaillant, qui lui aussi fut au service de la maison d’Orléans, et devint

VAILLANT. — Les renseignements biographiques manquent sur ce poète. Nous trouvons en 1403 et 1404 un Mathelin Vaillant, garde en Sologne des hommes et des femmes de corps de Louis d’Orléans<ref>Bibl. nat., Pièces orig., dossier VAILLANT.</ref>. Ce personnage est sans doute le père de notre Vaillant, qui lui aussi fut au service de la maison d’Orléans, et devint