« Symphonie héroïque/Forêts » : différence entre les versions
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Ligne 28 :
Vous frémissez aux cris de mille oiseaux joyeux ;
Et rien n’est plus superbe et plus religieux
Que votre grand silence, au fond du
Autrefois vous étiez habités par les dieux ;
Ligne 48 :
À l’heure où le silence emplit le bois sacré,
Pensives, se tournaient vers le croissant doré,
Et regardaient la mer soupirer aux
Nobles forêts, forêts d’automne aux feuilles d’or,
Ligne 58 :
Frissons d’ailes, frissons de feuilles, souffle pur ;
Lumière d’argent clair, d’émeraude et d’azur ;
Avril !
Ô vertes profondeurs, pleines d’enchantements,
Ligne 75 :
Vers la maison d’amour cachée au fond des bois.
Ô calme !
Sur la nappe s’écroule une coupe de fruits ;
Et l’amante tressaille au silence des nuits,
Sentant sur ses bras nus la fraîcheur des
Forêts d’amour, forêts de tristesse et de deuil,
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