« Page:Gaume - L'europe en 1848, 1848.djvu/5 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « time, aux seconds un juste salaire ; c’est protéger l’ouvrier contre la cupidité du maître, et le maître contre la paresse et le mauvais vouloir de l’ouvrier ;... » |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
time, aux seconds un juste salaire ; c’est protéger |
{{tiret2|légi|time}}, aux seconds un juste salaire ; c’est protéger |
||
l’ouvrier contre la cupidité du maître, et le maître |
l’ouvrier contre la cupidité du maître, et le maître |
||
contre la paresse et le mauvais vouloir de l’ouvrier ; |
contre la paresse et le mauvais vouloir de l’ouvrier ; |
||
Ligne 26 : | Ligne 26 : | ||
Mais en prenant la question dans un sens plus vulgaire, |
Mais en prenant la question dans un sens plus vulgaire, |
||
il faut reconnaître encore qu’elle est mal posée. |
il faut reconnaître encore qu’elle est mal posée. |
||
<small>comme pour faire entendre que tous les autres citoyens sont des fainéants, |
|||
ou que le travail de l’atelier est le plus noble de tous et le seul |
|||
utile à la société. L’esprit de l’anarchie est tout entier dans cette |
|||
nuance de langage, comme la toute-puissance de l’industrie moderne |
|||
est dans un peu de vapeur.</small> |