« Imitation de Jésus-Christ/Livre 3/Chapitre 14 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/369]]==
 
<center>'''De la considération des secrets jugements de Dieu, de peur que nous n’entrions en vanité pour nos bonnes actions.'''</center>
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Tes anges devant toi n’ont pas été sans tache,
et tu n’as rien permis à ta pitié pour eux :
étant plus criminel, serois-je plus heureux,
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/370]]==
<poem>
criminel, serois-je plus heureux,
moi qu’à cette justice aucune ombre ne cache ?
Au plus creux de l’abîme elle a fait trébucher
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et jamais chasteté n’est bien sûre ici-bas,
si ta protection ne fait son assurance.
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/371]]==
<poem>
Enfin si nous n’avons ton aide et ton soutien,
si tu ne nous défends, si tu ne nous regardes,
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sous tes saints jugements, sous leurs profonds abîmes,
où je ne vois en moi qu’un néant plein de crimes,
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/372]]==
<poem>
qui tout néant qu’il est, ose s’enorgueillir !
ô néant ! ô vrai rien ! Mais pesanteur extrême,
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s’enflât contre la main qui vient de la former ?
Un cœur vraiment à toi ne prend jamais le change ;
et qui
et qui goûte une fois l’esprit de vérité,
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/373]]==
<poem>
et qui goûte une fois l’esprit de vérité,
qui se peut y soumettre avec sincérité,
ne sauroit plus goûter une vaine louange.