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« Page:Revue de métaphysique et de morale, juillet-septembre 1927.djvu/9 » : différence entre les versions

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en quelque sorte sur elle-même, prouvant
en quelque sorte sur elle-même, prouvant
à la fois la transcendance et l’immanence
à la fois la transcendance et l’immanence
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de l’un, l’ɛ̀πέχετνα, faîte étincelant dont










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de l’un, l’ɛ̃πέχετνα, faite étincelant dont
nous aspirons en vain à redescendre, et la
nous aspirons en vain à redescendre, et la
xocvcdvta, le caractère absolu et le caractère
χοτνωνίχ, le caractère absolu et le caractère
relatif de la négation comme de
relatif de la négation comme de
l’affirmation, poursuivant le chemin des
l’affirmation, poursuivant le chemin des
hypothèses diverses pour se débarrasser de
hypothèses diverses pour se débarrasser de
toutes les hypothèses et pour les rassembler
toutes les hypothèses et pour les rassembler
toutes, et au bout de cette tcX^vtj voulant
toutes, et au bout de cette πλχνη voulant
condenser dans un instant, dans cette chose
condenser dans un instant, dans cette chose
absurde qui n’a pas de place dans le temps,
absurde qui n’a pas de place dans le temps,
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de la dialectique serait de s’achever et de
de la dialectique serait de s’achever et de
s’annihiler dans l’instant, comme dans le
s’annihiler dans l’instant, comme dans le
Tpt’rov, de façon qu’on ne passât plus du
τρίτον, de façon qu’on ne passât plus du
blâme à la louange, d’une thèse à une
blâme à la louange, d’une thèse à une
autre, de l’affirmation à la négation, mais
autre, de l’affirmation à la négation, mais
que la pensée les contint en soi en même
que la pensée les contînt en soi en même
temps. Et ce tourbillonnement n’est pas
temps. Et ce tourbillonnement n’est pas
vain l’idée d’un monde ordonné se constitue
vain : l’idée d’un monde ordonné se constitue
dans le désordre au néant de la
dans le désordre ; au néant de la
première hypothèse, au chaos delaseconde-,
première hypothèse, au chaos de la seconde,
à l’éclair de la troisième succède l’ordre.
à l’éclair de la troisième succède l’ordre.
L’absolu reste, impensable et présent. Mais
L’absolu reste, impensable et présent. Mais
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temps affirmées » (p. 219).
temps affirmées » (p. 219).


La Philosophie de saint Anselme.
'''La Philosophie de saint Anselme. Ses principes, sa nature, son influence''',
par {{sc|Charles Filliatre}}.
Ses principes, sa n, tare, son influence,

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par CHARLES Filliatbe. 1 vol. in-8« de





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1 vol. in-8« de
xv-473 pages. (Collection historique des
xv-473 pages. (Collection historique des
Grands Philosophes.) Paris, F. Alcan, 19;0.
Grands Philosophes.) Paris, F. Alcan, 19;0.
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