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Brih enamzêr ; lient pell merhat é taolo glao. Meit
pétra é er glao d’en hani io deit de glask Doué P Petra
é er gurun, bag er larêzel hag er bed d’en hani e ya Cle
üêlet dirakton splanndér dilavaradoé en Hani lakeit-é-kroez ?
Huêh eur de vitin ; brih en amzêr. Kleh erbet nen des
soñnet de gemennein en overenn-man, ha neoah éh es tud
ardro d’en aotêngoed. Chetu : deu gant Vreizad a me
rêjimant en des bet nañn a› vara Doué, ha dit int de uit
hon. Ul leùinê é d’er galon ou guélet azé ken nivêrus. Ha
ken gredus l Ur chapelet zo én ou dom, er chapelet karet
ê tiêgéheu Breiz. Ne sltuihan ket ê sellet dohté : na ltaer é
drem me folal a peu dé saùet trema Doué l Er ré e fal
dehé gouiet petra zo ê sol en inéanû breihilt n’ou des ken
meit moner d’er lideu lratolik, lêh ma ma denfinet goazed
ha merhed hor parrêzieu, gouleu er bêden ar ou zal. Neuzé
ê komprénint, rnarsé....


Le temps est brouillé ; avant peu, probablement, il
Le temps est brouillé ; avant peu, probablement, il
tombera de la pluie. Mais qui est-ce que la pluie pour celui
tombera de la pluie. Mais qu’est-ce que la pluie pour celui
qui est venu chercher Dieu P Ckfest le tonnerre, et la guerre
qui est venu chercher Dieu ? C’est le tonnerre, et la guerre
et le monde pour celui qui va voir devant lui la splendeur
et le monde pour celui qui va voir devant lui la splendeur
indicible du Crucifiê E*
indicible du Crucifié ?


Six heures du matin ; le temps est brouillé. Pas une
Six heures du matin ; le temps est brouillé. Pas une
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cents Bretons de mon régiment ont eu faim du pain de
cents Bretons de mon régiment ont eu faim du pain de
Dieu, et ils sont venus vers lui. C’est une joie pour le cœur
Dieu, et ils sont venus vers lui. C’est une joie pour le cœur
que de les voir là si nombreux. Et si fervents Ils ont le
que de les voir là si nombreux. Et si fervents ! Ils ont le
chapelet à la main, le chapelet aimé des familles de Bretagne.
chapelet à la main, le chapelet aimé des familles de Bretagne.
J e ne me fatigue pas de les regarder : que le visage de mon
Je ne me fatigue pas de les regarder : que le visage de mon
peuple est beau lorsqu’il est élevé vers Dieu ! Ceux qui
peuple est beau lorsqu’il est élevé vers Dieu ! Ceux qui
veulent savoir ce qu’il y a au fond de l’âme bretonne n’ont
veulent savoir ce qu’il y a au fond de l’âme bretonne n’ont
qu’å venir aux cérémonies catholiques, là où sont agenouilles
qu’à venir aux cérémonies catholiques, là où sont agenouilles
les hommes et les femmes de nos paroisses, la lumière de
les hommes et les femmes de nos paroisses, la lumière de
la prière sur leur front- Alors, ils comprendront, peut-être....
la prière sur leur front. Alors, ils comprendront, peut-être…