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<i>et bienfaisantes qu’il est le plus |
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nécessaire d’insister ? Les influences nuisibles n’ont d’ordinaire qu’un |
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temps; les influences bienfaisantes sont éternelles. |
temps ; les influences bienfaisantes sont éternelles. C’est l’honneur de |
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la critique scientifique de notre siècle |
la critique scientifique de notre siècle d’avoir su sympathiser avec les |
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esprits les plus divers pour les mieux comprendre, |
esprits les plus divers pour les mieux comprendre, d’avoir cherché à |
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expliquer et à légitimer par conséquent, dans une certaine mesure, en |
expliquer et à légitimer par conséquent, dans une certaine mesure, en |
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les expliquant, leur manière de sentir et de penser. Que dirait-on |
les expliquant, leur manière de sentir et de penser. Que dirait-on |
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aujourd’hui d’un critique qui jugerait Calvin d’après les piétistes |
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étroits et déplaisants qui se réclament de lui, Rabelais |
étroits et déplaisants qui se réclament de lui, Rabelais d’après les |
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chroniqueurs orduriers qui se disent rabelaisiens, Racine |
chroniqueurs orduriers qui se disent rabelaisiens, Racine d’après |
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Campistron, Voltaire |
Campistron, Voltaire d’après M. Homais ? qui reprocherait à Bossuet de |
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n’avoir pas conçu l’histoire universelle comme Herder ou Auguste Comte, |
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et à Pascal |
et à Pascal d’avoir eu pour disciples les convulsionnaires de |
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Saint-Médard? |
Saint-Médard ? S’attacher surtout à mettre en lumière les côtés lumineux |
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du génie des grands penseurs et des grands artistes, et montrer de |
du génie des grands penseurs et des grands artistes, et montrer de |
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préférence ce |
préférence ce qu’ils ont ajouté aux jouissances esthétiques et aux |
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richesses intellectuelles et morales de |
richesses intellectuelles et morales de l’humanité, c’est faire acte |
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d’équité. Lorsqu’il s’agit de contemporains à qui l’on doit le meilleur |
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de sa pensée, |
de sa pensée, c’est un devoir de reconnaissance. Tu en as ainsi jugé |
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quand tu as écrit sur Lamartine un |
quand tu as écrit sur Lamartine un</i> |