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{{tiret2|so|ciété}} dira : "C’est bien fait ; sa pénurie est la punition de sa prodigalité."
{{tiret2|so|ciété}} dira : « C’est bien fait ; sa pénurie est la punition de sa prodigalité. »


Je puis affirmer que Delacroix, en matière d’argent et d’économie, partageait complétement l’opinion de Stendhal opinion qui concilie la grandeur et la prudence.
Je puis affirmer que Delacroix, en matière d’argent et d’économie, partageait complétement l’opinion de Stendhal opinion qui concilie la grandeur et la prudence.


"L’homme d’esprit, disait ce dernier, doit s’appliquer à acquérir ce qui lui est strictement nécessaire pour ne dépendre de personne (du temps de Stendhal, c’était 6,000 francs de revenu) ; mais si, cette sûreté obtenue, il perd son temps à augmenter sa fortune, c’est un misérable."
« L’homme d’esprit, disait ce dernier, doit s’appliquer à acquérir ce qui lui est strictement nécessaire pour ne dépendre de personne (du temps de Stendhal, c’était 6,000 francs de revenu) ; mais si, cette sûreté obtenue, il perd son temps à augmenter sa fortune, c’est un misérable. »


Recherche du nécessaire et mépris du superflu, c’est une conduite d’homme sage et de stoïcien.
Recherche du nécessaire et mépris du superflu, c’est une conduite d’homme sage et de stoïcien.