« La Fille du tambour-major » : différence entre les versions

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LES MÊMES, LES PENSIONNAIRES, poursuivies par DES SOLDATS puis LA PRIEURE.
 
:::''ENSEMBLE.''
{|
|{{réplique|LES PENSIONNAIRES.}}
:Messieurs les militaires,
:De grâce laissez-nous ;
:Nous dirons des prières
:Pour vous !
 
|{{réplique|LES SOLDATS.}}
:O gentilles commères
:Aux yeux noirs et si doux,
:Soyez hospitalières
:Pour nous !
|}
 
{{réplique|LE DUC}}{{didascalie|, à la prieure qui entre tout effarée.}}
::Enfin vous voilà, Dieu merci !
::D’où venez-vous, courant ainsi ?
 
{{réplique|LA PRIEURE.}}
::De soldats la route était pleine
::Et nous revenons au logis,
::Toute tremblante, j’y ramène
::Mon troupeau de jeunes brebis.
 
{{réplique|LE DUC.}}
::Bien !… mais parmi votre famille
::Grand Dieu !… je ne vois pas ma fille !…
 
{{réplique|LA PRIEURE.}}
::Ah ! pardonnez-moi,
::J’étais si troublée,
::Qu’en ces lieux, je croi
::L’avoir oubliée !
 
{{réplique|LE DUC.}}
:Eh quoi ! ma fille est restée
:Aux pris’ avec un corps d’armée !…
:Où peut-elle être, ma Stella ?
:Et qu’en ont-ils fait ?
 
{{réplique|STELLA}}{{didascalie|, entrant suivie de Robert, Monthabor, Griolet, Claudine et des autres soldats.}}
::::Ma voilà !
 
===SCÈNE XIII===