« Page:Sand - Correspondance 1812-1876, 3.djvu/224 » : différence entre les versions
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{nr||CORRESPONDANCE DE GEORGE SAND|221}} |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 16 : | Ligne 16 : | ||
Pouvez-vous me renvoyer ce que vous avez lu des |
Pouvez-vous me renvoyer ce que vous avez lu des |
||
''Mémoires ?''<section end="s1" /><section begin="s2" /> |
''Mémoires ? ''<section end="s1" /><section begin="s2" /> |
||
<br />{{T4|À JOSEPH MAZZINI, À LONDRES|CCCXXI}} |
<br />{{T4|À JOSEPH MAZZINI, À LONDRES|CCCXXI}} |
||
Ligne 28 : | Ligne 28 : | ||
qu’on a retrouvé, dans un coin de la chambre que |
qu’on a retrouvé, dans un coin de la chambre que |
||
vous avez habitée ici, une bague qui doit vous appartenir |
vous avez habitée ici, une bague qui doit vous appartenir |
||
et vous être chère. Si j’en juge par la devise |
et vous être chère. Si j’en juge par la devise : |
||
''Ti conforti amor materno'', ce doit être un don de |
''{{Lang|it|Ti conforti amor materno}}'', ce doit être un don de |
||
votre mère, et vous croyez sans doute l’avoir perdue. |
votre mère, et vous croyez sans doute l’avoir perdue. |
||
Je l’ai serrée précieusement, et, quand vous {{tiret|m’indi|querez}} |
Je l’ai serrée précieusement, et, quand vous {{tiret|m’indi|querez}} |