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{{sc|Arot}}, s{{e|r}} des Hayes-Robert, — de la Monnerais.
{{sc|Arot}}, s{{e|r}} des Hayes-Robert, — de la Monnerais.
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:D’azur au centaure d’hermines, tenant sur l’épaule une massue de même (Arm. 1696).


{{bloc smaller|:Trois référendaires à la chancellerie de 1713 à 1787.}}
D’azur au centaure d’hermines, tenant sur l’épaule une massue de même (Arm. 1696).


{{AN|
Trois référendaires à la chancellerie de 1713 à 1787.
{{sc|Arquistade (d’) ou Darquistade}}, s{{e|r}} de la Maillardière, par. de Vertou, — de la Sénéchallière et du Gué-au-Voyer, par. de Saint-Julien-de-Concelles, — de Saint-Fulgent.
}}
:D’argent au chevron de gueules, accomp. de trois trèfles de sinople. Devise : ''{{lang|la|Patrio clarum suscepit amore}}''.


{{bloc smaller|:''René'', échevin de Nantes en 1718, depuis secrétaire du Roi et maire de Nantes, anobli par lettres de 1743 ; ''Pierre'', petit-fils de ''René'', reçu conseiller au parlement de Paris en 1743.}}
{{sc|Arquistade (d’)}} ou {{sc|Darquistade}}, s{{e|r}} de la Maillardière, par. de Vertou, — de la Sénéchallière et du Gué-au-Voyer, par. de Saint-Julien-de-Concelles, — de Saint-Fulgent.

D’argent au chevron de gueules, accomp. de trois trèfles de sinople. Devise : ''{{lang|la|Patrio clarum suscepit amore.}}''

''René'', échevin de Nantes en 1718, depuis secrétaire du Roi et maire de Nantes, anobli par lettres de 1743 ; ''Pierre'', petit-fils de ''René'', reçu conseiller au parlement de Paris en 1743.


{{AN|
{{sc|Arradon (d’)}}, s{{e|r}} dudit lieu et de Kerdréan, par. d’Arradon, — de Quinipily, par. de Baud, — de Camors, par. de ce nom, — de la Grandville et de Kerhervé, par. de Grandchamp, — du Plessix, — de Montigny.
{{sc|Arradon (d’)}}, s{{e|r}} dudit lieu et de Kerdréan, par. d’Arradon, — de Quinipily, par. de Baud, — de Camors, par. de ce nom, — de la Grandville et de Kerhervé, par. de Grandchamp, — du Plessix, — de Montigny.
}}
:Réf. et montres de 1443 à 1536, par. d’Arradon, év. de Vannes.


:De sable à sept mâcles d’argent, ''comme'' {{sc|La Motte}}.
Réf. et montres de 1443 à 1536, par. d’Arradon, év. de Vannes.


{{bloc smaller|:''Jérôme'', capitaine ligueur et gouverneur d’Hennebont, frère de ''Georges'', évêque de Vannes en 1590.
De sable à sept mâcles d’argent, ''comme'' {{sc|La Motte}}.


:La branche aînée fondue en 1610 dans ''Lannion'', puis ''Stapleton''.}}
''Jérôme'', capitaine ligueur et gouverneur d’Hennebont, frère de Georges, évêque de Vannes en 1590.


{{AN|
La branche aînée fondue en 1610 dans ''Lannion'', puis ''Stapleton''.
{{sc|Ars (d’)}}, s{{e|r}} de l’Ile-d’Ars, — de Botcren, par. de Plœren, — de Rulliac et de Tréviantec, par. de Saint-Avé.
}}
:Réf. et montres de 1481 à 1536, par de Plœren, év. de Vannes.


:D’argent à trois quintefeuilles de gueules.
{{sc|Ars (d’)}}, s{{e|r}} de l’Ile-d’Ars, — de Botcren, par. de Plœren, — de Rulliacet de Tréviantec, par. de Saint-Avé.


{{AN|
Réf. et montres de 1481 à 1536, par de Plœren, év. de Vannes.
{{sc|Arsac (d’) ou Erzac (d’)}}, s{{e|r}} dudit lieu, par. de Dingé, — du Boisdenatz, par. de Maure.
}}
:Réf. et montres de 1441 à 1513, dites par év. de Saint-Malo.


D’argent à trois quintefeuilles de gueules.
:De sable à l’aigle éployée d’argent, becquée et membrée de gueules.


{{bloc smaller|:La branche aînée fondue vers 1478 dans ''Couaridouc''.
{{sc|Arsac (d’)}} ou {{sc|Erzac (d’)}}, s{{e|r}} dudit lieu, par. de Dingé, — du Boisdenatz, par. de Maure.
Réf. et montres de 1441 à 1513, dites parév. de Saint-Malo.


:''Rolland'', chef d’une autre branche, capitaine de Tigné et Précigné en Anjou, l’an 1481, s’établit en Poitou et est l’auteur des s{{e|rs}} de Ternay, élection de Loudun, qui ont produit plusieurs chevaliers de Malte aux XVII{{e}} et XVIII{{e}} siècles, un chef d’escadre en 1771, et se sont éteints en 1813.}}
De sable à l’aigle éployée d’argent, becquée et membrée de gueules.


{{AN|
La branche aînée fondue vers 1478 dans ''Couaridouc''.
{{sc|Artault}} (orig. d’Anjou), s{{e|r}} de la Chesnaye
}}
:De gueules à trois tours d’or.


{{bloc smaller|:''Guy'', époux de Françoise Cupif, père et mère de ''Jean'', maître des comptes en 1643, ce dernier père de ''Guy'', maître des comptes en 1678.}}
''Rolland'', chef d’une autre branche, capitaine de Tigné et Précigné en Anjou, l’an 1481, s’établit en Poitou et est l’auteur des s{{e|rs}} de Ternay, élection de Loudun, qui ont produit plusieurs chevaliers de Malte aux XVII" et XVIIIe siècles, un chef d’escadre en 1771, et se sont éteints en 1813.

{{sc|Artault}} (orig. d’Anjou), sr de la Chesnaye

De gueules à trois tours d’or.

''Guy'', époux de Françoise Cupif, père et mère de ''Jean'', maître des comptes en 1643, ce dernier père de ''Guy'', maître des comptes en 1678.


{{AN|
{{sc|Artois (d’)}}, s{{e|r}} dudit lieu, par de Mordelles, év. de Rennes.
{{sc|Artois (d’)}}, s{{e|r}} dudit lieu, par de Mordelles, év. de Rennes.
}}
:De sable au greslier enguiché d’argent.


{{bloc smaller|:La maison d’Artois s’est fondue dans le ''Vayer'', et la seigneurie d’Artois acquise avant 1513 par les ''Gougeon'', a été érigée en vicomté l’an 1679, en faveur de René ''de la Porte'', s{{e|r}} d’Artois, et a passé ensuite par héritage aux ''Rousselet de Châteaurenault, d’Estaing et Visdelou''.}}
De sable au greslier enguiché d’argent.

La maison d’Artois s’est fondue dans le ''Vayer'', et la seigneurie d’Artois acquise avant 1513 par les ''Gougeon'', a été érigée en vicomté l’an 1679, en faveur de René ''de la Porte'', s{{e|r}} d’Artois, et a passé ensuite par héritage aux ''Rousselet de Châteaurenault, d’Estaing'' et ''Visdelou''.