« Page:Lemonnier - Happe-chair, 1908.djvu/287 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « femme, t’as qu’à demander à son m'sieu Ginginet si c’est qu’il a été brave aussi, lui. Ce nom qu’on lui jetait à la tête et qui réveillait inopinément t... » |
mAucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
qu’ t’es todi pendu à ses cottes ! |
qu’ t’es todi pendu à ses cottes ! |
||
— |
— Lâche-moé, nom dé Dié ! hurlait Achille, cabré en arrière sous |
||
cette ruée. |
cette ruée. |
||
Ligne 23 : | Ligne 23 : | ||
poids de Huriaux qui, les mains nouées à son cou, lui soufflait aux narines : |
poids de Huriaux qui, les mains nouées à son cou, lui soufflait aux narines : |
||
— Dis qu’ t’en |
— Dis qu’ t’en as minti, ou j’ te casse la gueule. |
||
— Cornard ! réitéra Gaudot, moitié râlant. |
— Cornard ! réitéra Gaudot, moitié râlant. |