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d’épées. Le combat était demeuré incertain depuis |
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la pointe du jour jusqu’aux approches de la nuit, |
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lorsque |
lorsque l’aile droite, que Constantin commandait en |
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personne, détermina la victoire par une attaque vigoureuse. Une sage retraite sauva le reste des troupes |
personne, détermina la victoire par une attaque vigoureuse. Une sage retraite sauva le reste des troupes |
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de Licinius. Mais dès que ce prince eut reconnu sa |
de Licinius. Mais dès que ce prince eut reconnu sa |
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et il se trouva bientôt hors de tout danger. Sa célérité |
et il se trouva bientôt hors de tout danger. Sa célérité |
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fut le salut de sa femme, de son fils et de ses trésors |
fut le salut de sa femme, de son fils et de ses trésors |
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qu’il avait laissés dans Sirmium. Licinius traversa cette |
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ville ; et après avoir rompu le pont sur la Save, il se |
ville ; et après avoir rompu le pont sur la Save, il se |
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hâta de lever une nouvelle armée dans la [[:w:Dacie|Dacie]] et |
hâta de lever une nouvelle armée dans la [[:w:Dacie|Dacie]] et |
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en [[:w:Thrace|Thrace]] : tandis |
en [[:w:Thrace|Thrace]] : tandis qu’il fuyait, il accorda le titre |
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de César à Valens, un de ses généraux, qui commandait sur la frontière |
de César à Valens, un de ses généraux, qui commandait sur la frontière d’Illyrie (<ref>[[:w:Zosime (historien)|Zosime]] (l. {{sc|ii}}, p. 90, 91) donne un détail très-circonstancié de cette bataille ; mais les descriptions de Zosime sont plutôt d’un rhéteur que d’un militaire.</ref>). |
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{{hdcer|Bataille de Mardie.|ch14.43}}La plaine de Mardie, dans la Thrace, fut le théâtre |
{{hdcer|Bataille de Mardie.|ch14.43}}La plaine de Mardie, dans la Thrace, fut le théâtre |
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d’une seconde bataille aussi opiniâtre et non moins |
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sanglante que la première. Les troupes des deux partis |
sanglante que la première. Les troupes des deux partis |
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déployèrent une valeur et une discipline égales ; la |
déployèrent une valeur et une discipline égales ; la |
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victoire fut encore une fois fixée par |
victoire fut encore une fois fixée par l’habileté supérieure de Constantin. Ce prince avait envoyé un |
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corps de cinq mille hommes |
corps de cinq mille hommes s’emparer d’une {{tiret|hau|teur}} |