« Page:Lemonnier - Happe-chair, 1908.djvu/16 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « forte, de sa chair ouverte ; des têtes se penchaient, sombres, dans cette pestilence ; des voix sourdes grondaient : — C’est l’passeu’ Lerminia ! Il y avai... » |
mAucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 20 : | Ligne 20 : | ||
suant et velu, Séraphin Simonard, le mari de la Bique, comme on |
suant et velu, Séraphin Simonard, le mari de la Bique, comme on |
||
l’appelait. L’vî a l’carcasse solide. C’est un dur-à-cuire. Porrait |
l’appelait. L’vî a l’carcasse solide. C’est un dur-à-cuire. Porrait |
||
ben |
ben cor’ en rescapper. |
||
— Bah ! fit Gaudot, un gaillard superbe, celui-là, suffit todis de |
— Bah ! fit Gaudot, un gaillard superbe, celui-là, suffit todis de |
||
Ligne 38 : | Ligne 38 : | ||
Ayant ainsi parlé, le grand chauffeur se courba, prit entre ses |
Ayant ainsi parlé, le grand chauffeur se courba, prit entre ses |
||
mains la |
mains la tête pâle que l’autre lui passait, et la coula sur son rugueux |
||
tablier de cuir, tout brûlant de la chaleur des fours. |
tablier de cuir, tout brûlant de la chaleur des fours. |
||