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Et la Stilla répétait la plaintive mélodie, qui avait bercé le rêve de Franz, lorsqu’il sommeillait dans la grande salle de l’auberge de Werst : |
Et la Stilla répétait la plaintive mélodie, qui avait bercé le rêve de Franz, lorsqu’il sommeillait dans la grande salle de l’auberge de Werst : |
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Nel giardino de’ mille fiori, |
Nel giardino de’ mille fiori, |
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Andiamo, mio cuore… |
Andiamo, mio cuore… |
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Ce chant pénétrait Franz jusqu’au plus profond de son âme… Il l’aspirait, il le buvait comme une liqueur divine, tandis que la Stilla semblait l’inviter à la suivre, répétant : |
Ce chant pénétrait Franz jusqu’au plus profond de son âme… Il l’aspirait, il le buvait comme une liqueur divine, tandis que la Stilla semblait l’inviter à la suivre, répétant : |
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Andiamo, mio cuore… andiamo… |
Andiamo, mio cuore… andiamo… |
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Et pourtant la porte ne s’ouvrait pas pour lui livrer passage !… Ne pourrait-il donc arriver jusqu’à la Stilla, la prendre entre ses bras, l’entraîner hors du burg ?… « Stilla… ma Stilla… » s’écria-t-il. |
Et pourtant la porte ne s’ouvrait pas pour lui livrer passage !… Ne pourrait-il donc arriver jusqu’à la Stilla, la prendre entre ses bras, l’entraîner hors du burg ?… « Stilla… ma Stilla… » s’écria-t-il. |