« Le Blason d’après les sceaux du Moyen-Âge » : différence entre les versions

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(extrait des ''Mémoires de la Société nationale des Antiquaires de France, tome XXXVII'')
 
J’étudie dans ce mémoire l’origine des armoiriesarmoi-ries, la figure chronologique de l’écu, les supports,- les cimiers, le volet et les lambrequins, les diversesdi-verses formes d’écu, les premières brisures.<br />
L’imagerie des sceaux nous a transmis un- nombre considérable d’armoiries, et ces armoiries- se recommandent non-seulement par une authenticitéauthen-ticité incontestable, mais encore par leur grande- ancienneté. De tous les monuments qui pourraient- nous éclairer sur l’origine du blason, il ne reste,- ou du moins l’on ne connaît que les sceaux. Il- était donc tout naturel et indispensable à la fois de- les prendre pour base de ce travail. Je dois ajouterajou-ter que les sceaux dont je vais invoquer le témoignagetémoi-gnage appartiennent presque tous aux grands- feudataires ou aux seigneurs les plus marquants- de notre pays. La question des blasons étrangers- se trouve ainsi réservée.<br />
<div style="text-align:center;">''Origine des armoiries.''</div>
Les origines des armoiries tendent à se dégager chaque jour davantage des fables qui les obscurcissaient. Les témoignages fournis par les sceaux servent de base aux nouvelles théories<ref>Voy. A. de Barthélémy. ''Essai sur l'origine des armoiries féodales.'' (Extrait des mémoires de la Société des Antiquaires de l’Ouest, 1872.)</ref>.<br />